Mikhaël V. Kasinsky ¤ La mort venue du Nord
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 Mikhaël V. Kasinsky ¤ La mort venue du Nord

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MessageSujet: Mikhaël V. Kasinsky ¤ La mort venue du Nord   Mikhaël V. Kasinsky ¤ La mort venue du Nord EmptyMer 26 Sep 2012 - 14:22


27 ANS ☆ HELSINKI ☆ SANG PUR ☆ CHEVALIER DU GRAND NORD

Mikhaël V. Kasinsky
FICHE TERMINEE

WITH. Chris Evans

Ce qui me rend si spécial.
J'suis né à Helsinki il y a 27 ans. Je suis venu(e) au monde dans la famille Kasinsky, qui est composé de sangs purs. Je suis d'origine finlandaise, c'est là que je suis né, passionnant ? Sinon actuellement, je suis Chevalier du Grand Nord, bien qu’un passe temps soit de chasser les vampires. En dehors de ça, je suis hétérosexuel, mais je l'assume parfaitement, d'ailleurs en ce moment je suis célibataire, ça gène quelqu'un? On m'as souvent dit que j'avais quelques particularités, comme d’être un animagus, une panthère pour être précis.


Je suis lunatique, pas vous ?
Le jour se lève dans ces contrées glacées, le vent fouette le visage, le paysage si blanc laisse de marbre les animaux qui s’éveillent doucement. Un prédateur se trouve sur place, félin, souple, il avance, son pelage noir dénotant avec le caractère neigeux des alentours. Il a vu sa proie, il s’en approche, lentement. L’animal hume l’air, s’accroupit au sol, avant de bondir griffes et crocs sortis. Sa proie n’a que peu de temps pour réagir face à cet animal, une proie si facile, proie à laquelle il fait subir le pire des tourments en lui coupant la jugulaire d’un coup de crocs. Perte de sang, se répandant sur le sol, d’autres crocs se montrent , une nouvelle morsure dans le cou, la proie se meurt, s’éteint. La bête se redresse pour laisser place à un homme. Un enfant, semi-homme, sans peur, le regard froid, il incinère sa proie, la tue lentement dans les flammes après l’avoir quasiment égorgé, décapité, douce supplice. La mort pour ces créatures est de nouveau au rendez-vous sous les traits de cet enfant.

☆ PÈRE CASTOR, RACONTE NOUS UNE HISTOIRE.


Naissance et enfance en plein hiver

    Mikhaël naquit par une belle journée, glacée, gêlée, de décembre 1476, au sein d’une famille assez aisée. Lord Kasinsky et sa femme étaient déjà les heureux parents d’une jeune fille, deux ans plus vieille que lui, Irina, maintenant, ils avaient un héritier, qu’ils baptisèrent Mikhaël Vassily. A première vue, tout commençait comme dans un conte de fée. Mais nous n’étions pas dans un de ces contes, et sa famille n’était pas une famille traditionnelle. Son père, Chevalier pour le Grand Nord, sa mère, grande sorcière dont la famille était proche du Chancelier de la province. De suite, il avait de grandes responsabilités sur les épaules, bien qu’il ne sache pas encore en fin de compte.

    L’enfance était souvent le prémisse de la vie future, ou de ce qu’on deviendra par la suite. Difficile de démontrer le contraire avec lui. Il fallait dire que dès son plus jeune âge, dès qu’il fut capable de marcher, et de parler, il fut éduqué dans l’optique de prendre la succession de ses parents. Sa sœur, son avenir était déjà tout tracé, se retrouver mariée à un homme de grande famille, bien qu’à côté, elle apprenait les rudiments nécessaires à toute bonne sorcière. Mais revenons à lui. Etre un enfant, dans l’Empire du Grand Nord, ce n’était pas aisé, ce n’était pas une simple tâche. Il fallait s’en montrer digne, comme lui disait son père.

    Apprentissage de la lecture, de l’écriture, des langues également. Tout homme prêt à servir le Grand Nord se devait de comprendre le dialecte des contrées vers lesquelles il irait. Finlandais, Russe, Français et Anglais, rien que cela, beaucoup trop pour un gamin aussi jeune, mais il pouvait s’estimer heureux, sa sœur ainée devait en savoir beaucoup plus que lui. Au cours de ces années d’éducation, et d’entrainement, il vit arriver dans la famille une sœur cadette, un an plus jeune que lui, et un frère, deux ans plus jeunes. La famille s’agrandissait, mais ce n’était pas pour autant que les leçons en étaient réduites au strict nécessaire.

    Maintien de soi, maitrise de l’éloquence, les rudiments de la bienséance, et l’entrainement rude et physique de son père. Courir, sauter, les exercices physiques, combattre à mains nues par des températures glaciales, torse nu, sur le sol gelé, sur les lacs gelés, l’escrime, c’était déroutant pour un enfant, mais c’était son enfance, et en y repensant bien qu’au départ, il en aurait fait des scènes face à tant de rudesse et si peu de tendresse, désormais il en redemandait. L’apprentissage de la magie, seulement les formules, la manière d’utiliser la magie – et oui il n’avait pas encore de baguette – sans oublier la spécialité de sa mère. Elle le prit à part, chaque jour pour quelques heures, pour lui apprendre ce que chaque personne de sa famille se transmettait de génération en génération. La transformation en animagus.

    Dire qu’il apprenait cela, seulement à partir de sept ans, comme si un enfant de cet âge en serait capable après tout. Et malgré tout, les leçons commençaient. La méditation, comprendre, se comprendre, chercher au fond de soi, ses qualités, ses défauts, laisser vagabonder son esprit pour se trouver en son « soi » intérieur. Il ne comprenait pas pourquoi. Surtout que c’était pour un enfant de cet âge, peine perdue n’est-ce pas ? Certes, mais sa mère y tenait, alors il acceptait chaque traitement de la sorte.

    Les années défilèrent ainsi, il ne se faisait pas d’amis, ou si peu qu’il les oubliait, toujours solitaire, n’ayant qu’un seul objectif, ressembler à son père, ce héros pour lui. Il avait été en quelque sorte endoctriné pour devenir le fantôme de son père ou son digne successeur. Du côté des leçons de sa mère, difficile de dire que cela avançait. La méditation aidait, mais trouver l’animal qui le correspondait, il ne saurait dire. Des impressions parfois durant cette méditation, des sensations, animales, l’âge aidant, les exercices également, il approchait du but, trouver son animal totem en quelque sorte, mais cela ne serait pas pour tout de suite. Et dire que cela faisait déjà trois ans que cela durait. Trois ans à supporter ces séances, et si peu de développement pour comprendre le fait d’être animagus.


Chevalier il était, chevalier tu le deviendras :

    Onze ans, année 1487, année charnière pour lui, il était temps selon son père. Temps qu’il parte du cocon familial pour rejoindre la Vallée des Chevaliers, pour retrouver ses futures camarades, frères d’armes. C’était la décision, c’était le moment, c’était venu. Pas d’adieux larmoyants, ce n’était pas son style, des promesses d’être digne du blason familial, de se revoir dès qu’il le pourrait avant de partir. Et la promesse de continuer à s’entraîner. Il ne s’attendait pas à avoir de traitements de faveur de toute manière, mais vivre dans ce climat rude, entouré de tous ces hommes, jeunes hommes, enfants, cela le changeait considérablement de l’ambiance de la demeure familiale bien qu’il était habitué aux ambiances glaciales.

    Pas de franche camaraderie, pas au départ en tout cas, il était là pour apprendre, pour devenir meilleur, il pouvait d’ailleurs remercier les entrainements fournis par son père, sans cela, nul doute qu’il serait déjà mort. Après n’était-ce pas un de leurs instructeurs qui leur avait dis que s’ils mourraient, alors c’était qu’ils n’étaient pas dignes d’être Chevalier ? Si en effet. Alors on redoublait d’efforts. Le corps s’habituait au climat peu chaleureux, mais il avait déjà vécu des entrainements dans ces conditions, maintenant c’était juste à longueur de journée.

    Les journées passaient et se ressemblaient, combat à mains nues, à l’épée, duel à la baguette, et la dernière nouveauté, apprendre à monter les créatures magiques. Sans nul doute ce qui était le plus surprenant. Bien évidemment, trop fier, monter un hyppogriffe ne put se faire hélas, ou alors cela se finissait en blessure et bonjour l’infirmerie, mais monter un dragon, il appréciait cela. Pour autant, il ne délaissa pas l’entrainement fourni par sa mère, méditant chaque soir, lui permettant de s’apaiser, de laisser couler l’adrénaline, de se replonger en transe. Au fur et à mesure, les distinctions se faisaient plus nettes, la forme également, il finirait par y arriver, mais cela ne serait pas encore pour aujourd’hui.

    Deux ans passèrent au cours desquels il évolua au sein de cette confrérie, évoluant autant sur le plan physique que psychologique, voir quelques uns de ses camarades tomber au sol, la gorge tranchée à cause d’une faute d’inattention, cela marquait les esprits, l’évolution de la transformation animagus s’améliorait, il avait appris sa forme, une panthère, mais pour l’instant, cette forme n’était pas encore accepté par son corps, par son esprit, il bloquait pour transformer ses membres, alors il se contentait de s’informer sur ces félins, d’en apprendre d’avantage, pour mieux communiquer avec son animal totem, de mieux ressentir ses sensations.

    1489, nouvelle année charnière, les deux premières années étaient passées, mais cette fois, une tragédie allait s’abattre sur lui. En pleine séance de formation, d’entrainement au duel magique, une sensation de vide le prit, il ne savait pas d’où cela venait, mais c’était là. Il ne savait pas ce qui se passait, jusqu’à l’arrivée d’officiels de la province ou ses parents habitaient. Et il comprit. Ce n’était pas dur de le comprendre, les officiels ne se déplaçaient jamais pour rien, et cela ne pouvait signifier qu’une chose. Sa famille avait disparu, comment ? On lui raconta des inepties, les faits en quelque sorte, jusqu’au moment ou sortant une dague il la plaqua sous la gorge d’un des officiels, l’obligeant à l’amener chez lui, pour voir ce qu’il en était, et ce à la barbe des gardes restés à l’extérieur de la tente.

    Le spectacle était horrible une fois qu’il fut sur place. Des Chevaliers étaient là, certainement pour constater les dégâts, le premier cadavre qu’il vit fut celui de sa sœur cadette, Katharina, les yeux remplis d’horreur, éteint, vidée de son sang, deux trous dans la nuque, nue, il entendit le fait que ceux qui avaient fait cela, des vampires, avaient également abusé d’elle pendant qu’ils buvaient son sang. Mais ce ne fut pas le seul cadavre qu’il vit ce soir là, son père et sa mère entouré des restes de dizaines de cadavres, poussiéreux, cadavériques, pâles comme des morts, ils s’étaient défendus jusqu’à la mort face à ces vampires, mais ceux-ci avaient gagné. La dernière horreur qu’il vit, fut son frère cadet, attaché, cloué dans le salon, sur la cheminée, la gorge déchiquetée, du sang au sol, une baguette au sol, celle de son père, il eut un haut le cœur avant de sortir précipitamment et de gerber tripes et boyaux, façon de parler, au sol, puis de se mettre à hurler, il se vengerait, il le promettait sur la mort de sa famille, il tuerait tous les vampires qu’il rencontrerait. Mais il y avait un espoir. Sa sœur ainée, disparue, certainement enlevée, il la retrouverait, il l’espérait, et il tuerait quiconque sur son passage.

    Ce moment marqua un changement radical dans son comportement. Bien que déjà solitaire, et dangereux sur les bords pour éviter de finir comme certains de ces condisciples, dans une fosse commune, il devint sadique, violent, tête brulée, il n’hésitait plus, c’était tuer ou être tuer, même au cours de la formation, surtout quand on combattait des vampires. Cette idée lui restait en tête bien qu’il servirait en premier l’Empire, il n’oubliait pas sa vengeance. Ce moment marqua également un déclic pour sa transformation animagus, comme si le blocage avait été brisé, le sort levé, le barrage brisé, la colère, la haine, pouvaient être de sacrés éléments percutants pour débloquer la magie d’un enfant.

    Mais ce n’était pas pour autant que c’était facile. Il lui fallut encore deux bonnes années, entrecoupées de sa formation de Chevalier, pour réussir à se transformer complètement. Rien qu’au cours de ces deux années passées, transformer une parcelle de soi en animal, ce fut douloureux, c’était un changement qu’on avait pas l’habitude, chaque changement s’accompagnait de nouvelles douleurs, mais à chaque nouvel essai, cela devenait plus aisé, comme si le corps commençait à s’habituer à cela, à se transformer. Deux ans de transformation partielle avant de réussir à finaliser cette transformation et de laisser place à une belle et jeune panthère. Les premiers pas furent difficiles, passer de deux à quatre pattes, être plus petit, ne pas avoir les mêmes sensations, la bête essayait de le dominer. Il dut s’y reprendre à plusieurs fois pour réussir à dompter la bête, devant se retransformer en humain pour éviter de sauter sur chaque nouvelle proie. Mais ces essais, plus ces lectures, l’aidèrent, et l’esprit humain était plus fort que l’esprit animal, il le canalisa, en quelque sorte, prenant le pas dessus pour diriger l’animal.

    Et ce fut le commencement de la chasse, à la tombée de la nuit, une fois ces compatriotes endormis, il partait chasser sous cette forme, il laissait l’animal prendre le pas quelques instants, la foulée rapide, sentir la neige sous ses coussinets, et son premier meurtre. Au cours de ses entrainements et de sa formation, ils avaient des combats avec des vampires, plus rapides, plus forts qu’eux, mais cela ne l’arrêtait pas, et l’un d’eux le narguait, connaissant ce qui était arrivé à ses parents, il le cherchait, et ce soir-là, ce fut lui qui le trouva. La bête, se confondant avec la nuit tombée, s’était approchée, tuer ou être tué, telle était le dilemme, et il n’hésita pas à venir tuer cette créature des ténèbres même au mieux de sa forme, déchiqueter, couper, égorger, il laissait la violence prendre le pas, la colère de la mort de ses parents prendre le pas sur tout le reste, l’animal reprenait ses droits jusqu’à ce qu’il ne reste plus grand-chose de ce vampire.

    C’était son tout premier meurtre, mais il ne l’oublierait jamais. La rumeur fit le tour de la Vallée, de la mort de ce vampire par un animal sauvage, qui habituellement n’habitait pas dans cette région, mais comme toute rumeur, aucun fondement.

    Les années passèrent, jusqu’à ce qu’il ait 21 ans, 1497, il venait de terminer sa formation. Il était devenu un Chevalier du Grand Nord, capable de se battre à l’épée, à dos de dragon, à la baguette ou à mains nues, le seul petit défaut, il n’était toujours pas capable de monter un hyppogriffe, toujours le même problème. Il s’était fait une réputation d’homme sans pitié durant cette formation, n’hésitant pas à tuer si nécessaire, après tout, il se rappelait bien les propos de l’un de ses instructeurs et cela était devenue une lituanie.


Chevalier tu es devenu, prends part désormais à la Grandeur de l’Empire :

    21 ans, en l’an de grâce 1497, le voilà Chevalier, nul doute qu’il s’attendait à ces débuts à beaucoup d’aventures, mais avec les évènements des dernières années, une bonne bagarre suffirait en fin de compte. Son poste était assez varié, autant ils devaient maintenir l’ordre au sein de l’Empire, participer à l’effort de guerre quand celle-ci était présente aux portes de l’Empire, autant il devait courir après les criminels, mais c’est envers les délits commis par les vampires qu’il prit le plus de « plaisir », pas de paix possible, impossible de se rendre avec lui, il les éliminait, il les détestait, c’était simple, à côté de cela, il restait magnanime pour les autres criminels qui souhaitaient se rendre.

    Six ans à jouer en quelque sorte, autant les chasseurs de primes, que les protecteurs du royaume, il voyait du pays, il voyait chaque recoin de l’Empire, mais malgré tout, il n’avait toujours pas retrouvé sa sœur, celle-ci restait introuvable, pourtant il ne perdait pas espoir, l’une des dernières descendantes des Kasinsky se devait d’être encore en vie, qu’il ne soit pas seul. Malgré son côté froid et solitaire, sa famille était tout ce qu’il avait, enfin ce qu’il en restait. Pour cela, qu’en apprenant d’un futur vampire en charpie, que sa sœur était toujours vivante, sous un autre nom, en Angleterre, il se proposa pour accompagner le corps expéditionnaire, le corps diplomatique pardon, dans cet autre Empire, cela lui donnerait une bonne raison pour justifier sa présence, sans oublier bien entendu de pouvoir chasser quand il aurait le temps, à croire que les vampires commençaient à avoir peur dans le Grand Nord. Pour si peu vraiment. Peut-être que ceux d’Angleterre étaient plus coopératifs, il le saurait bientôt.




INTROSPECTION

☆PARENTS : Lord Vassily Krutchev Kasinsky, Chevalier du Grand Nord, chevaucheur émérite d’un dragon, épéiste hors pair et excellent duelliste. Mort chez lui, tué par des vampires venus se venger, se rassasier.

Lady Anastasia Olga Kasinsky née Odinov, descendante des Odinov, puissante famille sorcière de Finlande, proche du Chancelier de la province. Morte en combattant les vampires venus les assaillir chez eux.

☆DESCENDANCE : Par encore de gosses. Il a passé pour l’instant toute sa vie à se préparer à devenir Chevalier, il n’a pas eu le temps avec ces futilités. Mais il a connu les joies du sexe, et il en redemande.

☆FRÈRES & SŒURS : Katharina Milo Kasinsky, sœur cadette, morte à l’âge de 12 ans, tuée par des vampires alors qu’elle cherchait à s’enfuir de la demeure familiale.

Vladimir Kyrilenko Kasinsky, frère cadet, mort à l’âge de 10 ans, tué alors qu’il bravait le danger face aux vampires à l’aide de la baguette de son père.

Irina Natasha Kasinsky, sœur ainée, disparue à l’âge de 15 ans, digne fille de leur mère, très douée à la baguette, emmenée par les vampires, jamais retrouvée.

☆AUTRES : Il est seul, il voyage seul, il est toujours seul

MAGIQUEMENT VOTRE

☆ÉPOUVANTARD : Voir ses parents en vampire manger de l’ail devant lui.

☆BAGUETTE : Hêtre avec comme cœur une plume de phénix.

☆ COMPETENCES : Ayant été formé dans la Vallée des Chevaliers, pour devenir un des combattants les plus émérites de l’Empire, il est doué dans le combat à l’épée, au duel à la baguette, monter à dos de dragon. Il possède également une transformation animagus, en panthère, apprise au cours de pénibles années auprès de sa mère, quand celle-ci était encore en vie.



☆ AUTRE COMPTE : Hal W. Mason
☆ PERSONNAGE INVENTÉ OU ISSU DE POSTE VACANT : Inventé bien sur quelle question Tonks
☆ COMMENT AVEZ-VU CONNU LE FORUM : J’ai entendu le mot shipp Rowena
☆ QUESTIONS : Ou est la zone interdit au – 18 ans ?
☆ LE PETIT MOT DE LA FIN : BASTON !

MY NAME IS Geo



(c). Festina alias Caroline


Dernière édition par Mikhaël V. Kasinsky le Mer 26 Sep 2012 - 15:57, édité 5 fois
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