Adalrik Sinason [fini]

WITH. Viggo Mortensen

Ce qui me rend si spécial. J'suis né à Stockholm il y a 29 ans. Je suis venu(e) au monde dans la famille Torkelson, qui est composé de sangs purs. Je suis d'origine Suèdois, c'est là que je suis né, passionnant ? Sinon actuellement, je suis Chevalier du grand Nord. En dehors de ça, je suis bisexuelle mais je l'assume parfaitement, d'ailleurs en ce moment je suis célibataire, ça gène quelqu'un? On m'as souvent dit que j'avais quelques particularités, comme être un occlumens accomplis, excellent cavalier et plus doué à dos de dragon qu'à dos d'hippogriffe.. Je suis lunatique, pas vous ? Être né en Suède, c'est accepter de ne pas avoir le même nom de famille que son père ou ses soeurs... Car dans le pays d'Adalrik, les noms de famille sont composés du prénom du père suivit du suffixe "son" si vous êtes un garçon ou du suffixe "dotter" si vous êtes une fille... On s'y perd vite mais c'est comme ça que ça marche. Adalrik a passé plus de temps dans les champs d'entrainement des chevaliers du grand Nord que dans sa propre maison, si bien que s'il voyait ses soeurs, il ne les reconnaîtrait surement pas... Loyal, courageux (limite tête brûlée d'ailleurs) peu bavard et observateur, il a l'air d'un ours comme ça, mais quand on le connait c'est la crème des hommes. Seulement, il ne rigole pas avec l'autorité, l'obéissance et l'honneur. Des valeurs qu'on lui a appris à la fois dans sa maison et dans le camp d'entrainement. Il y a aussi une petite chose amusante avec Adalrik, c'est qu'il est curieusement peu à l'aise à dos d'hippogriffes alors que les dragons eux-mêmes ne lui posent aucun problème.

CHAPITRE I : Noble et ancienne famille de chevaliers
Il était une fois, dans le beau pays qu’est la Suède, un sorcier de sang-pur qui s’appelait Bertil Elovson. Il était marié avec une riche héritière de sang-pur du nom d’Inga, fille de Nils, grand entrepreneur faisant des affaires en pays moldu pour mieux s’enrichir. Bien que le mariage fut arrangé, Bertil et Inga eurent vite un enfant, une fille pour leur plus grand malheur, qu’ils prénommèrent Solvig. Élevée telle une sang-pur de son rang, Solvig n’a connu que le domaine de ses parents de toute son enfance, jusqu’à ce qu’elle ait quatorze ans et qu’ils ne l’emmènent avec eux aux réceptions mondaines afin de la montrer et d’espérer en tirer un bon mariage.

C’est d’ailleurs pour cette raison qu’ils acceptèrent la proposition de Torkel Niklasson, marié à Greta Petterdotter et chevalier respecté, d’accorder la main de leur unique enfant à leur fils, Sina qui avait déjà une bonne réputation dans le monde sorcier pour ses états de service. C’est donc en l’an quatorze-cent soixante-dix que Solvig Bertildotter devint Solvig Torkelson, femme d’un courageux chevalier à la réputation d’excellent soldat, fier, droit, loyal mais également respectueux des autres et particulièrement de sa femme. L’année suivante, à peine dix mois après leur union, vint au monde leur premier enfant, qui, malgré leurs espoirs, fut une fille. Ingegard était une belle jeune fille blonde comme les blés et aux yeux verts qui vous donnait l’impression d’avoir déjà compris dès sa naissance quelle était son rôle dans la vie…

CHAPITRE II : Naissance d’un fils.
Deux années plus tard, las d’écouter à la fois on père et son beau-père se lamenter sur le sort qui s’acharnait sur leurs familles de ne pas avoir vu arriver un héritier mâle, Sina réussit enfin à engrosser de nouveau sa femme et elle mis au monde, un fils, enfin… Ca n’était pas le premier né, mais ça n’était pas le plus important car enfin, ils auraient un garçon pour en faire un chevalier et ainsi perpétuer la tradition familiale du coté de la famille de Sina. Ils prénommèrent leur fils Adalrik et dès sa naissance, renvoyèrent de l’envoyer dans la vallée des chevaliers dès qu’il serait assez grand. Dès son plus jeune âge cependant, Adalrik appris à s’occuper des chevaux de son père et à reconnaitre les différentes races de dragon. Sa mère le préparait le plus possible à son avenir qui était déjà tout tracé. Il appris également l’écriture et la lecture auprès d’un précepteur ainsi que l’anglais, que son père trouvait primordial a apprendre en temps que chevalier.

Lorsqu’il eut six ans, en l’an quatorze-cent quatre-vingt, il arriva un évènement auquel personne ne s’attendait. Un nouvel enfant, arrivant tout à fait par hasard et ce fut une deuxième fille qu’ils prénommèrent Annika. Alors qu’Adalrik apprenait à la fois l’art de monter en selle, de soigner les chevaux, ainsi que l’écriture et la lecture, ses sœurs apprenaient à tenir une maison, à bien se comporter en société et à s’occuper de menus travaux tels que la couture, la broderie ou encore le chant. Les travaux de cuisine et de ménage n’étant pas de leur rang. Adalrik, élevé dans l’optique de devenir chevalier, aurait bien aimé pouvoir partir pour l’empire d’Arkaracs dès sa huitième année, âge où sa magie se manifesta, mais ce fut un évènement tellement banal que personne ne se souvient exactement de ce qu’il s’est passé à cet instant là. Ingegard, Annika et Adalrik, si vous leur posez la question, vous répondrons simplement qu’à partir de ce jour, il eut également un précepteur pour lui enseigner sorts et contre sorts ainsi que quelques petites potions utiles pour soigner les maux.

CHAPITRE III : Arkaracs me voici
En l’en quatorze-cent quatre-vingt-cinq, Adalrik alors âgé de onze ans, fit ses adieux à sa famille et partit en voyage en compagnie de son père pour la vallée des chevaliers dont il rêvait depuis sa plus tendre enfance. C’est la dernière fois qu’il vit sa mère ainsi que ses deux sœurs. D’ailleurs, ça n’est pas parce qu’il fut amené à la vallée des chevaliers par son père qu’il faut imaginé qu’il resta en sa compagnie car ce serait totalement faux. En effet, À peine son fils présenté à ses responsables, Sina lui fit ses adieux et partit vaquer à ses devoirs. Adalrik dut apprendre à grandir seul, entouré de ses camarades et de ses instructeurs. L’apprentissage fut long et difficile, surtout au début où tout lui paraissait insurmontable, mais petit à petit, à force de détermination, il parvint à surmonter l’infaisable à ses yeux. Il appris d’abord à manier d’avantage la baguette et fut formé sans scrupule à la magie noire comme blanche. Il teint à apprendre l’art de l’épée et de l’arc pour parfaire ses capacités et faire ainsi un meilleur chevalier, puis il appris a monter, dos de cheval, ce qui lui fut facile puisque qu’il le faisait depuis longtemps, mais aussi d’hippogriffe (ce qu’il trouve d’ailleurs toujours aussi compliqué) et pour finir, l’apothéose, le dragon…

En quatorze-cent quatre-vingt-sept, Adalrik apprend que son père a chuté au combat et qu’il est désormais l’homme de la famille, il n’a alors que treize ans et sa mère décide de le laisser dans la vallée des chevaliers. Deux années plus tard, Ingegard se voit épouser Halvar Gustafson, un riche sang-pur possédant un élevage de chevaux, mais Adalrik, toujours occupé à se former le mieux possible, n’en sait pas d’avantage et ne l’apprend que par hasard par un de ses compatriote qui connaissait bien Halvar. Bien qu’il ait appris la loyauté, il ne peut se sentir totalement concerné par sa famille qu’il a déjà quitté depuis quatre ans et qu’il ne compte pas revoir de son vivant, sauf peut-être à l’occasion, mais il ne peut jurer de rien.

En quatorze-cent quatre-vingt-douze, alors qu’Adalrik fête ses dix-huit ans, le jeune homme apprend la mort de sa mère survenue quelques mois plus tôt. Il n’a aucun détail et ne cherche pas à en avoir, voila sept ans qu’ils les a abandonné pour venir se former parmi l’élite des chevaliers et il ne fait que prier pour le salut de son âme le soir même, rien de plus. Il apprend par la même occasion que sa cadette, Annika alors âgée de seulement douze ans, est confiée à son ainée, Ingegard et son époux. Il ne se fait donc pas de soucis pour elle, sachant qu’elle est entre de bonnes mains, et se considère comme seul au monde.

CHAPITRE IV : Un homme c’est bien, un chevalier c’est mieux.
En l’an quatorze-cent quatre-vingt-quatorze, Adalrik fête ses vingt ans et ne se considère toujours pas comme totalement formé dans le métier. Il continue donc de s’entrainer au combat, aussi bien sorcier que moldu, à la magie, à l’occlumencie et à la cavalerie. Il adore s’occuper des chevaux et aime à observer les dragons pour mieux comprendre leur comportement, déterminant même que selon leur race, ils ne réagissent pas de la même façon dans certaines situations. Cependant, il ne parvient toujours pas à monter les hippogriffes aussi bien que les simples chevaux avec qui il semble avoir un lien particulier.

Les années passent sans qu’Adalrik ne s’intéresse à ce qui se passe à l’extérieur de la vallée des chevaliers du grand Nord et à force de combat, de patience et d’observation, il parvint à repousser ses limites à chaque fois un peu plus encore, tout comme ses collègues. Lorsqu’il fête ses vingt-cinq ans, il commence à être satisfait de ses capacité et est finalement fait chevalier mais il reste malgré tout s’entrainer. Il s’autorise cependant une petite folie et se procure un faucon pèlerin qu’il nomme Olov. Olov se révèle être un rapace plutôt solitaire mais qui revient toujours vers son maitre. Adalrik adore chasser avec lui, celui qu’il considère comme son plus fidèle ami…

☆ AUTRE COMPTE : nada. ☆ PERSONNAGE INVENTÉ OU ISSU DE POSTE VACANT : inventé. ☆ COMMENT AVEZ-VU CONNU LE FORUM : et bien entre les mail, le partenariat et facebook j'avais le choix. ☆ QUESTIONS : Est-il possible qu'un chevalier du grand nord soit affecté à un poste qui lui permettrait de faire de nombreux déplacements entre le grand nord et l'Angleterre ? Si oui, lequel ? ☆ LE PETIT MOT DE LA FIN : texte ici.. MY NAME IS " Aline "